Ya no sé nada, habrá que esperar a ti, del Algarve, ya me dirás, con tu consciencia de una física cuantos joules y que equilibrio es posible en estas condiciones. Por la belleza de todo esto, pasadismo ó galicismo, realmente me la suda, os dejo este pedazo de canción aunque no exprese la realidad, mi realidad. Pero es que oír a Francia me hace sentir una persona con sentimientos, (inexplicablement jijij) y estos días me siento allá de mi humanidad, en plan
en plan...
en plan....
bueno la canción de Barbara:
«Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
Voilà combien de temps que tu es reparti,
Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage,
Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage,
Au printemps, tu verras, je serai de retour,
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour,
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,
Et déambulerons dans les rues de Paris,
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,
A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,
Ton image me hante, je te parle tout bas,
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi,
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus,
J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours,
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour,
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir,
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs,
Je reprendrai la route, le monde m'émerveille,
J'irai me réchauffer à un autre soleil,
Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin,
Je n'ai pas la vertu des femmes de marins,
Dis, quand reviendras-tu,
Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus...»
Fijaros en su mirada inicial, china mirada sartreana ó einsteiniana, es muy grande aunque muy fatalista
http://es.youtube.com/watch?v=mC776KBLU7k&feature=related
jueves, 28 de agosto de 2008
sábado, 23 de agosto de 2008
Memorias resbaladizas
Lanzo títere y lo veo crecer
Anclado a prejuicios de mierda, orientado por la nada
Ceuta, agosto de 1415
Anclado a prejuicios de mierda, orientado por la nada
Ceuta, agosto de 1415
domingo, 3 de agosto de 2008
Unerasable and indelebile
Después de un par de días, parecía interminable, mi vida profesional y formativa cabe en
15 hojas Word 770Kbytes
No podré olvidarte, olvidaros
Aunque seáis invisibles, de momento
15 hojas Word 770Kbytes
No podré olvidarte, olvidaros
Aunque seáis invisibles, de momento
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